Adélaïde Cazali

Habituée de la Cour internationale de justice et de la Cour européenne des droits de l’homme, Amal Alamuddin a été amenée à défendre, lors d’affaires très médiatisées, l’Etat cambodgien, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange ou Ioulia Timochenko, l’ancienne première ministre ukrainienne. Le 11 août, l’ONU l’a choisie pour devenir l’un des trois membres de la commission d’enquête sur les éventuelles violations des droits de l’homme à Gaza, lors de l’opération « Bordure protectrice ». Se disant « honorée par cette offre », elle l’a pourtant refusée, invoquant un emploi du temps surchargé.